Le Ministère des Ressources Minières, de l’Énergie, de l’Industrie, du Commerce et du Tourisme a organisé, ce mardi 25 novembre 2025 à Gitega, un atelier de consultation des parties prenantes dédié à la gestion des déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE). Cette rencontre a réuni des représentants administratifs et des membres de la commission interministérielle afin d’examiner l’état d’avancement de la future politique nationale et de formuler des recommandations pour un cadre réglementaire adapté aux besoins du pays.
Au cœur de cet atelier figuraient trois objectifs prioritaires : évaluer la progression du processus d’élaboration de la politique nationale des DEEE, sensibiliser les décideurs à l’importance d’une gestion durable des déchets électroniques, et recueillir les propositions pour un dispositif réglementaire aligné sur les réalités nationales. L’initiative s’inscrit dans la Vision Burundi Émergent 2040–2060 et dans la Stratégie d’accès universel à l’électricité à l’horizon 2030.
Selon le représentant du Ministère des Ressources Minières, de l’Énergie, de l’Industrie, du Commerce et du Tourisme, le Projet Soleil Nyakiriza prévoit l’électrification de 400 écoles, 400 centres de santé, ainsi que la distribution de 65 000 kits solaires aux ménages ruraux. Il a rappelé que le gouvernement reste déterminé à garantir une énergie « fiable, abordable, durable, inclusive et propre », avec un objectif de 100 % d’accès à l’électricité, dont 80 % via le réseau national et 20 % par des solutions solaires décentralisées.
Évoquant les défis actuels, le même représentant a souligné que seuls 25,9 % des Burundais ont accès à l’électricité, avec de fortes inégalités : environ 70 % à Bujumbura, contre 4 % dans plusieurs provinces rurales. Une situation qui illustre l’importance d’une transition énergétique accompagnée d’une gestion responsable des équipements en fin de vie.
Le représentant du Ministère de l’Environnement a rappelé que la montée rapide de la consommation d’équipements électriques et électroniques fait de la gestion des DEEE un enjeu majeur de santé publique et de protection de l’environnement. En l’absence de mécanismes appropriés, ces déchets se retrouvent dans des décharges non contrôlées, exposant la population à des risques graves et menaçant la qualité des écosystèmes.
Il a précisé que le gouvernement a engagé la mise en place d’un système national de gestion des DEEE conforme à la Vision Burundi 2040–2060, conjuguant efficacité, équité, durabilité écologique et création d’emplois verts. Cet atelier constitue, selon lui, une étape essentielle pour doter le pays d’une politique ambitieuse et alignée sur les standards internationaux.
Les participants ont salué l’avancée du processus et ont apporté plusieurs contributions pour enrichir le document en cours de finalisation. Ils recommandent d’« aller de l’avant » afin de permettre au Burundi de se doter d’une politique et d’une stratégie nationale solide en matière de gestion des DEEE, dans le respect des normes internationales.
HAVUGIYAREMYE Dieudonné
Mme Françoise Ntimpirangeza, Burundaise originaire de Ntobwe et résidant en Belgique, a remis ce don avec le soutien d’un ami proche et partenaire d’initiative dans ses actions sociales. Elle explique qu’elle souhaite contribuer au bien-être des femmes avec un esprit positif : « Si j’ai posé cet acte aujourd’hui, ce n’est pas parce que je suis accablée par les difficultés, mais parce que je choisis de rester animée par un esprit positif et d’avancer avec un cœur en paix, soucieuse du bien-être de ma vie et de celle des autres », a-t-elle déclaré.
Lors de cette cérémonie, le Président Ndayishimiye a souligné que cette route contribuera au développement de la commune de Gishubi en facilitant les déplacements entre Gitega, Bururi et Rumonge, et en réduisant significativement le temps de transport pour les habitants.
Cette opération d’évaluation harmonisée concerne 171 923 élèves de l’enseignement fondamental, un effectif considérable, dont la prise en charge exige des moyens logistiques et financiers importants. Le budget global nécessaire à la préparation de l’évaluation s’élève à 60 millions de FBu, intégralement assumé par la commune. Une contribution des parents sera sollicitée prochainement pour assurer la pérennité de cette entreprise éducative ambitieuse.
S’adressant aux enseignants, M. Ndayavurwa a insisté sur la nécessité de finaliser minutieusement le programme du premier trimestre et de renforcer les séances de révision, condition sine qua non d’une assimilation approfondie des contenus. Aux élèves, il a rappelé que l’examen constitue un jalon essentiel vers les évaluations nationales et qu’une préparation rigoureuse demeure la clé de leur réussite.
Au total, 31 sacs de ciment ont été fournis par l’association “Umutekano w’igihugu”, témoignant de son engagement constant en faveur du renforcement de la sécurité et de l’appui aux initiatives communautaires. Les travaux ont principalement porté sur la préparation du ciment et du sable destinés à l’édification du mur de clôture entourant le futur terrain de football, infrastructure d’importance majeure pour la jeunesse et le développement local.
Le Gouverneur de la province de Gitega, M. Liboire Bigirimana, a félicité les habitants pour leur participation volontaire et leur sens élevé du devoir civique. Il a rappelé que la paix et la sécurité constituent le socle de tout progrès durable. Il a exhorté les chefs de colline à demeurer attentifs aux préoccupations de la population et à privilégier des approches locales dans la recherche de solutions, soulignant que le développement trouve ses racines au sein même des familles.
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